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Marie, Lucie : La révision du code pénal est enterrée

Marie, Lucie : La révision du code pénal est enterrée ! Le projet controversé qui tentait à faire payer l’Etat en cas de crime perpétré par un récidiviste avec une peine allégée a été enterré par la commission des affaires juridiques du National. L’Etat se protège et ne sera pas responsable si un criminel mis en liberté conditionnelle ou si celui-ci à une peine allégée lors d’une récidive. L’Etat ne doit et ne peut répondre des dommages causés par des criminels. La révision du code pénal est enterrée et ne répondra pas à ce projet controversé nous informe la commission des affaires juridiques du National. C’est à 15 voix contre 9 que le rejet a été exprimé lors de la consultation du National. Les services du Parlement rejettent ce projet et l’initiative de la parlementaire Natalie Rickli de l’UDC à Zurich.

Marie, Lucie : La révision du code pénal est enterrée
Marie, Lucie : La révision du code pénal est enterrée

Marie et Lucie : Les victimes devront assumer les conséquences d’actes graves

C’est à la suite des affaires Marie et Lucie que la parlementaire Natalie Rickli avait initiée ce projet, mais dès ce jour l’on ne parlera plus de révision du code pénal et les particuliers devront assumer eux-mêmes toutes les conséquences et les dérives financières des actes commis par des délinquants récidivistes. Il faut savoir que tous les composants de la justice étaient contre ce projet. Pour la justice, l’on risquait de remettre en cause le système de réinsertion des prisonniers. Ce n’est pas l’autorité qui est responsable des auteurs d’infractions par des récidivistes ; ceux-ci seront traités comme des repris de justice lambda. Pour les cantons, la crainte était une diminution des allègements des peines et de fait, une augmentation des coûts pénitentiaires. Chaque prisonnier doit être préparé à la liberté provisoire et cela à un coût pour éviter la récidive.

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