S’il y a une chose qui n’est jamais agréable, c’est le fait d’avoir à payer ses impôts. En plus de l’amputation que cela représente sur notre revenu, notre fortune ou nos activités, s’en acquitter occasionne très souvent des soucis supplémentaires en lien notamment avec toute la paperasserie administrative et les nombreuses factures et pièces justificatives auxquelles s’intéresse le fisc.

Comment payer moins d’impôts

On peut éventuellement réduire ses frais ou bien se serrer la ceinture d’une manière ou d’une autre, mais à un certain moment, l’on se demande aussi si la solution ne serait pas tout simplement de réduire ses impôts.

S’il y avait en effet une réalité fréquente, ce serait celle-ci : ce n’est pas tellement le montant de nos revenus en lui-même qui ne nous permet pas de vivre avec une certaine largesse, mais c’est bien la totalité des sommes versées à l’administration fiscale à titre d’impôts qui est trop conséquente.

Et cela est un cercle vicieux, car plus on gagne de l’argent, plus l’État nous en demande. La première question est donc de savoir s’il existe un moyen d’échapper à cet état de choses.

Comment payer moins d’impôts
Comment payer moins d’impôts

C’est pourquoi il n’y a finalement pas de question plus pertinente que celle qui demande : comment payer moins d’impôts ? Contre toute attente, la réponse est que cela est tout à fait possible, et cela en restant bien entendu dans la légalité.

Il ne s’agit là pas d’un détail insignifiant, car user de voies quelque peu douteuses risquerait de nous causer encore plus de torts au niveau financier, car en agissant dans ce sens, on encourait des sanctions pécuniaires qui sont loin d’être négligeable.

Il serait en effet dommage qu’en cherchant une manière de payer moins d’impôts, on se retrouve à devoir davantage d’argents à l’administration fiscale. Parmi les solutions existantes et qui restent dans les voies légales, on peut songer à augmenter ses cotisations pour la retraite.

D’autre part, il faudra aussi trouver un moyen de rendre compte de manière effective de l’ensemble de ses charges et de ses responsabilités.

Augmenter ses cotisations pour la retraite

D’une manière générale, l’État ne peut pas taxer la partie de notre revenu qui est destinée à la retraite. Plus précisément, il se donne pour principe de ne pas frapper d’impôts les sommes que nous mettons de côté pour assurer nos vieux jours.

C’est surtout notre souscription à un troisième pilier qui nous permettrait d’en bénéficier si toutefois certaines conditions sont remplies.   Aussi, si nous pouvons mettre à profit cette disposition dont l’objectif est de servir nos intérêts sociaux, nous n’y aurons aucun tort ni de quoi nous reprocher.

En tout cas, cela resterait tout à fait légitime et en même temps légal même si après un certain moment nous décidions que finalement nous réinvestirons la somme épargnée.

Néanmoins, dans la mesure où l’on agirait dans ce sens, il faudra observer toutes les réglementations en vigueur et au besoin se faire conseiller pour éviter qu’on ne soit finalement imposé à ce moment-là.

D’ailleurs, la mise en œuvre de l’affectation de ces revenus nécessitera toujours une attention et une habileté particulière. C’est pourquoi on insiste davantage sur le recours à l’assistance d’un spécialiste de la fiscalité.

Cela représente en effet le meilleur des options. Voilà en quoi consiste justement une part importante du travail d’un fiduciaire : trouver le moyen de régulariser et de gérer la fiscalité de ses clients en mettant un point d’honneur sur l’efficacité de la procédure et l’avantage pouvant être gagné par ses clients.

On remarquera donc en outre que par rapport aux services qu’ils nous rendent, certains fiduciaires, alors qu’ils fournissent véritablement un travail de professionnel ne sont pas chers payés eu égard aux services rendus. On dira même plus : ce qu’on gagne, c’est-à-dire, l’argent qu’on aura finalement réussi à épargner du fait des déductions d’impôts obtenus, pourra même excéder le prix dudit service.

S’assurer d’avoir déclaré toutes ses charges, responsabilités et dépenses exceptionnelles

Dans le même ordre d’idées que ce qui a été précédemment avancé, chaque État s’engage normalement aussi à ne pas appliquer un taux d’impôt qui aurait pour résultat de prélever une somme disproportionnée par rapport aux ressources du contribuable. Ce sera pourtant le cas si le prélèvement fiscal indiqué est tel qu’il ne reste même plus au contribuable le minimum vital pour faire face au quotidien.

C’est pourquoi, des mesures spécifiques sont appliquées à l’endroit de certaines personnes qui auront démontré ou assumé des charges plus ou moins importantes et qui ont pour effet d’amoindrir de façon considérable ses ressources.

Sans entrer dans les détails que les fiduciaires maîtrisent sur le bout des doigts, nous comprenons en effet que c’est à juste titre qu’il existe des aménagements spéciaux tendant à prendre compte ou à témoigner des considérations faites par les autorités à l’égard des contribuables qui en l’occurrence en des enfants à charge.

C’est peut-être d’ailleurs dans cette optique que le mariage est vu par certains célibataires comme étant un investissement particulièrement avantageux en termes de fiscalité. En ce qui concerne le cas particulier des propriétaires, ce sont les dépenses occasionnées par les réparations les nouveaux aménagements qui doivent entre autres être rendus en compte s’ils aspirent à payer moins d’impôts à titre de réductions.combien d'années faut-il garder sa déclaration d'impôts

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