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Usurpation d’identité au risque d’emprisonnement

À cause des allégations mensongères émises par un trentenaire, ce dernier a écopé d’une sanction de 32 mois de détention ferme. En effet, les mensonges qu’il a répandus ont provoqué des effets néfastes. À titre d’informations, cet homme d’une trentaine d’années se faisait passer pour un haut fonctionnaire fédéral. Dans certains cas, il affirmait également qu’il était au service d’un club de foot de SuperLeague. À noter qu’il proférait ces mensonges non seulement pour épater ses semblables, mais également pour en tirer le maximum de profits. Toutefois, ces actions ont généré de lourdes conséquences d’après les informations émises par la radio RTN.

Usurpation d’identité  : un risque important de prison
Usurpation d’identité : un risque important de prison

Parmi ses victimes, il a réussi à duper l’une de ses amies qui a fini par donner sa démission de son précédent emploi dans l’espoir de pouvoir intégrer la Confédération. Suite à ces événements, cette femme s’est d’ailleurs procurée une nouvelle voiture d’une valeur de 45 000 francs. Elle espérait en vain que cette somme serait restituée par l’administration fédérale. Il semblerait même que l’inculpé ne s’est pas arrêté là. Effectivement, il serait également à l’origine du dépouillement des caisses de nombreux festivals. D’après les informations collectées, il aurait dérobé dans des magasins des articles d’une valeur approximative de 35 000 francs. L’affaire a été portée en justice et le jugement a été prononcé mardi par le Tribunal du Littoral (NE). Pour l’ensemble des accusations qui ont été portées à son encontre, le trentenaire a écopé de 32 mois de prison ferme. Il convient de noter qu’il a été jugé comme étant coupable de divers chefs d’accusation, à savoir : escroquerie, usurpation de fonction sans oublier le vol par métier.

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