La situation à cause de la COVID est grave car l’épidémie engendré par le coronavirus ne constitue pas uniquement une problématique au niveau de la santé, mais aussi au niveau de l’économie et de la crise de l’emploi.101,5 % du PIB, voilà jusqu’où ira cette année le taux de la dette publique d’après le FMI. Par ailleurs, la souscription à une assurance chômage complémentaire est plus que conseillé en ces temps de crise pour une protection financière optimale, toujours en vue de faire face à cette situation délicate.
Vigilance obligatoire pour l’équilibre budgétaire
Etant donné la situation, la plupart des États atteint par le fléau du coronavirus, les cantons de la suisse et de la france y compris, seront tentés de réduire leurs dépenses. Toutefois les responsables du FMI, notamment Gita Gopinath et Vitor Gaspar, ont tenu à émettre leur point de vue sur cette situation engendrée par le coronavirus. Ainsi la limitation des dépenses pour la population suisse et celle de la France , du fait du coronavirus, aurait un effet défavorable à la relance de l’économie et cela aura obligatoirement un impact budgétaire plus important. La santé de l’économie risque de se porter au plus mal selon l’avis de ces hauts responsable.
Limitation excessive des dépenses déconseillée
Limiter les dépenses excessives jusqu’à ce que la pandémie du coronavirus prenne fin reste le conseil à suivre, malgré quelques appréhensions quant à la possibilité de la majorité des pays, tels que la suisse et la france par exemple, de preserver un degré d’endettement raisonnable. En tout cas, le taux d’intérêt applicable aux emprunts est actuellement des plus bas ce qui a permis aux différents gouvernements d’accompagner les mesures de confinement. En effet, c’est environ 11 000 milliards qui ont été consacrés aux subventions des foyers, mais aussi des entreprises victimes. Ces mesures d’accompagnements ont été rencontrées aussi bien en France qu’en Suisse au niveau des divers cantons. Toutefois les taux d’emprunts ont des chances de rehausser d’où la nécessité de rester prudents.
L’économie verte comme solution
L’effort de maintenir un équilibre budgétaire est avancé comme la principale alternative appliquée en France et surtout pour les pays qui même avant l’apparition du coronavirus étaient limités dans leur capacité à contracter plus de dettes. Ce qui leur est conseillé de faire dans l’immédiat est de continuer la mise en œuvre d’un programme budgétaire tel que la réalité actuelle le permet. Pour cela la lutte contre l’évasion fiscale reste l’une des meilleures options en plus d’un renforcement de la taxation du carbone. C’est dans la même suite d’idées que le FMI se met du côté des défenseurs de l’environnement en recommandant l’élimination des charges en énergies fossiles au profit de la réduction des dépenses. Cette situation nous semble sans précédent, même au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale et qui pourtant aura tendance à s’aggraver. On ne pourra espérer une stabilisation que vers l’année 2021 suite à la pandémie du coronavirus selon toujours les estimations du FMI et de l’OFSP suisse.
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