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Chômage partiel chez Tornos

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Chômage partiel chez Tornos

Chômage partiel chez Tornos ! Lors de l’assemblée générale du 13 avril, Tornos a évoquée l’introduction du chômage partiel. Ce jour, cette mesure de chômage partiel vient d’être mise en œuvre pour le 50% de l’effectif de Tornos à Moutier. Selon Gilles Bandelier, le Président de la commission du personnel de Tornos, Tornos est la seule des entreprises dans le domaine de la machine-outil de la région à n’avoir pas chômé en 2015 et il n’est pas inquiétant de devoir commencer un RHT dès ce mois-ci.

Chômage partiel chez Tornos : La RHT a commencé depuis 15 jours !

Tornos applique la RHT ; réduction des horaires de travail depuis maintenant 15 jours sur son site de Moutier. Cette RHT concerne le site de Moutier et environ 50% de tout son personnel pour un chômage partiel selon RJB, la Radio Jura Bernois qui confirme une information d’Unia et de Tornos. Dans l’attente d’une confirmation, l’on parle également de plusieurs licenciements secs depuis le début de l’année au sein de Tornos.

Selon encore la radio RJB, plus de 10 personnes auraient été licenciées depuis le début de l’année. Le directeur financier de Tornos; Bruno Edelmann ne nie pas ces allégations et précise que le licenciement de plusieurs personnes fait partie des mesures que la direction prendra dans tous les cas si le marché se dégrade encore.

Chômage partiel chez Tornos : Que nous réserve l’avenir ?

Lors de l’assemblée générale du 13 avril chez Tornos, il était question de recours possible à la RHT, réduction des horaires de travail pour faire face à une dégradation du marché de la machine-outil, mais devait-on arriver à des licenciements secs ? Bruno Edelmann, directeur financier de Tornos et Gilles Bandelier, Président de la commission du personnel de Tornos, sur les ondes de RJB relativisent le fait de passer par du chômage partiel et pendant ce temps-là, licencient une dizaine de personnes sur le site de Moutier. Faudra-t-il s’attendre à de nouveaux licenciements secs en 2016 ? Une certaine tension au sein du personnel est donc inévitable reconnaît Gilles Bandelier.

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