Les assureurs assurent au niveau taux de solvabilité

Ils ne vous assurent pas uniquement, les chiffres par rapport à 2017 sont tombés et les assureurs assurent et rassurent vis-à-vis du taux de solvabilité.

 

La solvabilité des assurances

Après la parution du bilan et des résultats de la part de Swica, la Finma, l’autorité fédérale de surveillance des marchés financiers, et selon le calcul du Test suisse de solvabilité, SST, trois assurances ont nettement amélioré financièrement l’état de leur solvabilité, la Zurich Insurance, la Bâloise et l’Helvetia, leur taux de solvabilité est supérieur à 200%.

Suite à l’exercice 2017, la Bâloise est passé d’un taux de 214% en 2016 à 262%, concernant la Zurich assurances a progressé à 216% alors que l’année 2016 le taux de solvabilité se montait à 204%. Quant à Helvetia, le taux se trouvait à 165% et est monté actuellement à 212%. On trouve également les taux de Swiss Re et Swiss Life à respectivement 269% et 170%.

Pour rappel d’un point de vue légale, la loi sur les caisses de pensions et les assurances, le régime LPP stipule que les gains et les pertes sont portés à 100% par la communauté de risque. Ce fameux taux de solvabilité est un indice afin de pouvoir situer l’état de l’institution.

Les assureurs assurent au niveau taux de solvabilité
Les assureurs assurent au niveau taux de solvabilité

 

Les nouveaux assurés sont les gagnants

En effet, vu les taux de solvabilité enregistré par les différentes assurances et le fait que les fonds propres sont nettement supérieurs afin de faire face à tous problèmes, les assurances pourront donc verser de forts dividendes. Mais qui donc hérite de la réussite de l’exercice 2017.

Ce sont les nouveaux assurés, ils auront probablement des primes plus basses que ceux de l’année précédente. L’excédent vis-à-vis des prévisions pour l’année 2017 étant dépassées, un montant sera reporté lors de la conclusion d’une nouvelle assurance, ce qui veut dire une baisse des primes pour les nouveaux arrivant, dans le cas contraire, si les prévisions n’avaient pas été atteintes, les nouveaux assurés auraient été en charge de payer la différence via l’augmentation des primes. Pour résumé, lorsque les prévisions sont ou ne sont pas atteintes, ce sera toujours directement répercuté sur l’exercice de l’année suivant via l’augmentation ou la baisse des primes.

 

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